Lors d'une récente publication sur ma page Facebook d'auteure, j'ai demandé à mes abonnés de me faire part de questions nécessitant des conseils ou de la guidance, des questions auxquelles je répondrais par canalisation (écriture automatique).
Je crois sincèrement que nous vivons tous les mêmes défis, et ce, à différents degrés; c'est pourquoi j'ai beaucoup moi-même appris du message reçu aujourd'hui de la part des guides et des anges et j'aimerais vous le partager ici. QUESTION : Comment arrêter de s'en faire pour les autres et prendre seulement ce qui nous appartient?
Chères âmes,
On pense à tort que le fait d’être très empathique et bienveillant envers les autres est une grande qualité, mais cela dénote souvent, tout simplement, un très grand manque de confiance et d’amour envers soi-même.
Plus on veut aider l’autre, au point de prendre sa propre vie en charge, plus cela reflète notre besoin de se faire confirmer que nous sommes appréciés et avons de la valeur.
Le simple fait de ressentir un malaise, un bouleversement, lorsqu’on s’inquiète et vient en aide aux autres confirme à quel point nous sommes enchaînés à cette « dépendance » de vouloir toujours prouver - aux autres d’abord, puis à soi-même - à quel point nous sommes une bonne personne. Donc, nous avons une certaine valeur. Donc, techniquement, on devrait nous apprécier, nous aimer, nous remercier pour cela.
Mais, ça n’est pas toujours le cas. En fait, ça l’est rarement. Et c’est là que la lourdeur, la douleur apparaît. Parce que nous ne comprenons pas pourquoi - alors que nous avons tout fait pour être gentils, aimables, serviables, bienveillants - il n’y a pas de rétribution au bout.
Rares sont les personnes qui font un « don de soi » sans avoir un but précis, sans rien attendre en retour. En réalité, lorsque nous faisons le bien, c’est souvent dans le but de recevoir le bien en retour.
Comprenez-nous bien ici. Nous ne disons pas que cela n’est pas correct ou justifié, mais vous devez savoir qu’avec les attentes viennent aussi parfois les déceptions. C’est pourquoi il est important de donner sans nourrir une quelconque forme d’attente.
Oui, nous le savons; vous n’êtes que des êtres humains et votre principale quête sur la Terre est celle d’être aimés. Toutefois, l’amour ne peut venir à celui ou à celle qui, au départ, cherche à aider par manque d’amour envers soi-même.
La case départ se trouve au fond de chacun de vous : Vous devez d’abord apprendre à vous aimer pour être à même de bien recevoir et de bien interpréter toute marque d’amour en provenance des autres. Autrement, vous allez vous perdre si, toute votre vie, vous êtes dans l’attente que les autres reconnaissent votre valeur alors que vous-mêmes ne la reconnaissez même pas.
Plus vous comprendrez la différence entre s’inquiéter / rendre service dans le but d’apporter aux autres et non dans le but de se sentir davantage aimé, plus les émotions reliées à ceci deviendront légères et fluides.
Les malaises et les lourdeurs que vous ressentez proviennent du fait qu’à chaque fois, vous vous attendez à un retour.
Ainsi, si vous n’êtes pas considérés par la personne pour qui vous faites preuve de bienveillance, vous le vivez mal et cela accentue davantage votre blessure de rejet alors que le but était, tout simplement, de vous sentir davantage importants et aimés.
En résumé, vous ne devez pas vous mettre au service des autres si cela vous fait plus de mal que de bien. Vos intentions doivent être pures et sans attentes. Elles doivent être en lien avec le but de DONNER et non de RECEVOIR.
Nous vous aimons. Vos anges.
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