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  • Photo du rédacteurjackiebhamilton

La critique, la constatation ou l'appréciation


Si je vous demande de me dire rapidement – sans trop réfléchir – quel est votre principal mode de pensée entre la critique, la constatation et l’appréciation.


Êtes-vous focalisés en permanence sur l’analyse des choses, des situations et des gens afin d’en faire la critique? Êtes-vous de ceux et celles qui savent faire preuve de discernement – qui voient et comprennent ce qui se passent - sans pour autant vouloir monter aux barricades à chaque fois qu’une source de frustration ou d’injustice est perçue? Et, finalement, Êtes-vous plutôt du type à apprécier davantage qu’à revendiquer constamment?


La critique


Dans la vie, il n’est pas nécessaire d’avoir une opinion sur tout et, surtout, de l’exprimer haut et fort – pour ne pas dire de l’imposer – à chaque fois. Et cela ne fera pas de nous des personnes sans colonne vertébrale. Lorsque nous tombons dans la critique et que cela devient notre principal état d’esprit, jour après jour, il deviendra difficile pour nous d’arriver à apprécier quoique ce soit parce que notre esprit sera habitué à chercher des bibittes.


Je me rappelle une expérience que j’ai faite avec mon fils lorsqu’il avait environ 12 ans. Pour le divertir, lui et ses amis, lors du chemin du retour d’un parc aquatique, je leur ai dit de compter le nombre de véhicules jaunes.


Entre vous et moi, les véhicules jaunes, ça ne pleut pas. Du moins, pas au Québec. Cependant, nous avons tous été fort étonnés de constater qu’il y en avait plus que nous le pensions tout simplement parce que nous avons mis NOTRE FOCUS là-dessus. Il y en avait même deux juste dans le quartier du dernier enfant que nous avons raccompagné chez lui!


Tout ceci pour appuyer le fait que nous voyons bien ce que nous voulons voir.


La constatation


Bien sûr que le monde n’est pas parfait et il est souhaitable d’en avoir une vision réaliste. De constater que ceci est regrettable ou que cela devrait être amélioré, ça n’est pas d’être négatifs. En autant que nous n’en faisons pas une fixation et que nous ne nous faisons pas des problèmes des autres (y compris de la Terre) nos propres problèmes.


Nous serons toujours plus aidants en restant dans la paix et la sérénité qu’en participant aux sources de perturbation elles-mêmes.


L’appréciation


Si nous avons pris l’habitude – oui, parce qu’il s’agit aussi d’une habitude qui peut se développer – de toujours verser vers l’angle le plus positif de chaque chose, nous devenons un aimant qui attirera davantage de toutes ces bonnes choses que nous reconnaissons au quotidien.


N’est-ce pas ce que nous voulons tous, d’être abonnés aux signes, à la magie, aux miracles? Pour ce faire, nous devons nous « auto-stimuler »; faire en sorte que notre mode de pensée principal devienne celui d’apprendre à apprécier tout ce qu’il y a de beau et de bon dans notre vie car, croyez-moi, il y a beaucoup plus de raisons d’être reconnaissants que d’être en colère. Mais, pour ce faire, nous devons apprendre à mettre notre focus là où ça compte; c’est-à-dire là où ça nous rapportera le plus et où ça rapportera le plus à tous ceux qui nous entourent puisque ce qui rend notre vie pénible ou enjouée – si nous passons nos journées à l’exprimer – rend aussi la vie des autres pénible... ou enjouée.

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